Pour qui me prenez-vous ?

Pour qui me prenez-vous ?

ou Ne jugez jamais un livre d’après sa couverture…

Combien de fois avez-vous jugé quelqu’un sur son apparence, au premier regard ?

Soyez honnête, il nous arrive à toutes et à tous de faire ça, même moi ! Le problème est qu’en agissant ainsi, nous coupons net la communication car même si nous interagissons ensuite avec la personne en question, nous chercherons toujours à justifier notre ressenti, ce qui, convenons-en, n’est pas la meilleur façon de partir à la découverte de “l’Autre”.

Dans un monde parfait, nous serions tous tolérant.e.s les uns envers les autres et égales et égaux en droit, quelque soit notre origine, notre couleur de peau et notre genre mais force est de constater que cela n’est pas le cas, y compris dans nos “démocraties”.

Un autre facteur majeur générateur de discriminations, comme évoqué dans un autre article, est la différence de moyens financiers. Certains naissent avec une cuillère d’argent dans la bouche et d’autres doivent se battre pour survivre quasiment dés le berceau. Le lien social entre ces deux mondes n’existe quasiment pas.

Quels critères déterminent pour vous la valeur d’un être humain ?

En qui avez-vous naturellement le plus confiance ?

Quelles valeurs privilégiez-vous ?

Mes questions sont destinées à revenir à boucler la boucle, à savoir que nous ne devrions jamais faire de conclusions hâtives quand nous rencontrons une personne, du moins pas avant de lui avoir laissé la possibilité d’exprimer ce qu’elle est, sans fards.

Si nous ne pouvons bien évidemment pas sympathiser dans la vie réelle avec la terre entière,

ne serait-ce que pour avoir notre compte d’heures de sommeil,

nous pouvons à minima faire preuve d’humanité au quotidien en ne nous laissant pas abuser par les apparences.

Rise in Love En’Joy

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